jeudi 29 octobre 2009

Eco-Emballages va présenter son « Plan 75 »



Eco-Emballages planche sur un plan d’action pour atteindre l’objectif de 75 % des déchets d’ici 2012, alors que 63 % des emballages ménagers sont collectés aujourd’hui.

Eco-Emballages planche sur un plan d’action pour atteindre l’objectif de 75 % des déchets d’ici 2012, alors que 63 % des emballages ménagers sont collectés aujourd’hui. Il se déclinera en quatre axes : sensibilisation du trieur et meilleure répartition des conteneurs, notamment en région parisienne, communication sur la recyclabilité des matériaux, action renforcée sur l’habitat collectif et enfin, l’intégration de l’écoconception et de la prévention. « Il faut créer des ruptures dans le geste du consommateur », relevait Eric Brac de la Perrière, directeur général d’Eco-Emballage, lors de la célébration des 35 ans du recyclage du verre d’emballage par Verre Avenir. L’éco-organisme veut notamment travailler avec des associations pour améliorer le tri en habitat collectif, pour « faire descendre les tonnes en bas de l’immeuble ».

source : http://www.environnement-online.com


lundi 12 octobre 2009

Solidworks 2010 : faire le bon choix environnemental grâce à la CAO

La démonstration du module SustainabilityXpress de Solidworks 2010 (en anglais):


jeudi 8 octobre 2009

La Poste passe au vert !!



Les véhicules électriques Matra GEM, produits à Romorantin par Matra (ex-constructeur de l’Espace), ont conquis La Poste dans le cadre de son appel d’offres européen. Le groupe souhaite en effet intégrer quantité de véhicules électriques dans son parc jaune et bleu. Et tout est bon : des deux aux quatre-roues en passant par les quadricyles ou les quads 100 % électriques.

L’appel d’offres lancé fin mars 2008 portait sur l’acquisition de 100 à 300 quadricycles électriques, mais La Poste prévoit d’étendre son parc électrique à 3000 unités si l’expérience s’avère concluante.

Afin de mieux répondre au cahier des charges en matière d’ergonomie, d’esthétique et d’éco-conception, Matra a toutefois dû réaliser une adaptation spécifique de son modèle existant. Qui plus est, ces quadricycles électriques sont recyclables à 95 %.

Déjà commercialisés de par le monde à raison de 40 000 unités, les quadricycles électriques GEM roulent à 40 km/h maxi pour une autonomie théorique de 75 km avec 500 kg de charge utile et moins de 1 euro aux 100 km pour un entretien minimum.

plus d'infos

source : http://www.automobile-entreprise.com/


mardi 6 octobre 2009

Avec EcoFolio éco-organisme des papiers, découvrez l'histoire des petits papiers et engagez vous pour leur gestion durable.


Société privée à but non lucratif, EcoFolio s’est vu confier par l’Etat une mission d’intérêt général : participer à la préservation de notre environnement en faisant progresser le tri et le recyclage de nos papiersDans les p’tits papiers de l’environnement… La protection de la planète passe par l’union de forces et de moyens à chaque niveau, à chaque instant, dans chaque domaine... C’est sur cette logique que s’est créé en 2007 Eco- Folio, l’éco-organisme des papiers. Ni profit, ni but lucratif, EcoFolio est une plateforme pour l’action collective. Carte d’identité et feuille de route d’un modèle d’avenir…


EcoFolio? Société privée à non but lucratif, Eco- Folio est un éco-organisme. L’Etat lui a confié une mission d'intérêt général. Sa feuille de route ?

Participer à la préservation de notre environnement en faisant progresser le tri et le recyclage de nos p’tits papiers. A l’image d’une boucle de recyclage, EcoFolio fonctionne selon un cercle vertueux : il crée, assemble, finance, réunit, concerte, innove et facilite pour améliorer l’ensemble de la filière papiers.

EcoFolio n’est pas une structure parapublique mais est contrôlé par l’Etat qui co-définit ses actions. Au travers d’EcoFolio les entreprises émettrices de papiers (presse gratuite d’annonces, publicités, courriers, annuaires et demain papiers bureautiques, enveloppes…) financent les opérations de tri et de recyclage des papiers assurées par vos villes et communes. EcoFolio leur permet ainsi de conjuguer rentabilité et environnement. Une mission qu’EcoFolio mène au niveau économique, environnemental et citoyen depuis deux ans.

Une économie vertueuse. Selon le code de l’environnement, les émetteurs d’imprimés papiers ont l’obligation de financer la gestion de fin de vie de leur produit (35 € par tonne).

C’est ce que l’on appelle la Responsabilité élargie du producteur. En adhérant à EcoFolio, les entreprises concernées confient l’exercice de cette responsabilité à l’éco-organisme et impulsent une économie vertueuse ou le déchet devient une matière première à recycler.

Les collectivités locales perçoivent ces soutiens selon un barème incitatif (65 € par tonne recyclée, 30 € par tonne incinérée avec valorisation énergétique, 2 € par tonne enfouie).

Une approche durable des p’tits papiers. EcoFolio apporte également son expertise à l’ensemble de ces partenaires.

Optimisation des schémas de collecte sélective de papiers en concertation avec les collectivités locales, définition des bonnes pratiques d’éco-conception avec les entreprises, identification des débouchés avec l’industrie papetière…En valorisant une utilisation responsable des papiers, ces actions développent durablement ce matériau et préservent l’environnement. Une mission citoyenne. Enfin, avec les collectivités et les associations,

EcoFolio mène des campagnes de sensibilisation sur le tri des papiers et le respect de l’environnement. Transformer l’adhésion de principe en pratique effective... est un enjeu essentiel ou chacun d’entre nous a un rôle à jouer au quotidien. Alors à votre tour, n’hésitez pas à entrer dans la boucle du recyclage... en triant vos p’tits papiers.

plus d'infos

source : http://www.lejournaldesplages.com/


jeudi 1 octobre 2009

Des déchets recyclés pour des œuvres d’art engagées



Prenez d’un côté un secteur industriel générant des montagnes de produits à usage unique (80% de la production mondiale) et des quantités de déchets non utilisés. De l’autre, un secteur culturel foisonnant d’idées mais peinant parfois à trouver les moyens matériels de les réaliser. L’idée de la Réserve des Arts est née de l’envie de concilier leurs préoccupations par le biais de l’écologie, de manière à ce que les déchets des uns deviennent la matière première des autres.

Inspirée d’une initiative new-yorkaise, la Réserve doit bientôt ouvrir les portes de son local à Paris, conçu à la fois comme un lieu de stockage, d’information et de rencontres à destination des acteurs culturels. Régisseurs d’exposition, décorateurs de cinéma ou designers de tous horizons pourront ainsi venir s’y fournir en matériel recyclé, à moindre coût. Seule condition : adhérer à la charte de production culturelle responsable, afin de promouvoir l’éco-conception des œuvres artistiques.

Car pour ses fondatrices, la Réserve, en offrant une seconde vie aux rebuts industriels, est avant tout un moyen original de soutenir à la fois la création artistique et la cause écologique. Une idée très séduisante : être transformés en œuvre d’art, c’est une jolie résurrection pour des déchets, non ?

Pour en savoir plus sur la Réserve des Arts

http://www.lareservedesarts.org/

source : http://admin.blogs.psychologies.com/